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16/04/2012

Commentaires

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Alain


Vivement la sortie du livre. Je trouve cette approche originale dans la vie.

Joël de Rosnay

Merci Alain ! J'espère, si vous êtes surfeur, qu'on pourra aussi se retrouver dans les vagues !

Isabelle

Monsieur, comment ne pourrait on ne pas être d'accord avec votre constat. je le vis, je le vois chaque jour. Les consciences sont endormies, et celle qui ne le sont pas fonctionnent encore dans l'individualité. Les bases de notre culture n'est pas un lien familiale autour duquel tournerait notre vie,un lien de solidarité, mais un lien qui rompt tout à coup, sans jamais avoir vraiment acquis la connaissance de ce qui compte réellement, ce qui est essentiel. pas non plus culturel le : vivre le moment présent comme si c'était le dernier, surtout que la société est bâtie sur une course pour remplir de rien le temps qui nous incombe chaque jour. J'ai 53 ans et le bonheur d'avoir un enfant de 4 ans et se sont ces valeurs là que je lui enseigne et je crois que nous faisons un bon départ! Bref J'achèterai votre livre , et que Dieu vous entende!!

complémentaire mutuelle

Salut très bon billet, puis-je vous soumettre une question : comment s'y prendre pour sauvegarder votre article en pdf pour le lire tranquillement depuis mon ordinateur où je n'ai pas internet ? Un grand merci pour tout.. Conséquemment,je possède un site et je mourrais d'envie de vous le signaler si à tout hasard cela vous intriguait.

Julie

Joël de Rosnay

Isabelle, merci pour votre commentaire si profond sur les valeurs et l'éducaton de votre fils de 4 ans. Si la question du temps vous intéresse, voici un article sur ce grand sujet, intitulé "Avons nous encore le temps ?"
http://bit.ly/JeLifW

Joël de Rosnay

Julie, pour sauvegarder l'article en pdf :
- cliquer sur le lien "4ème de couverture"
- cliquer sur le titre "4ème de couverture'
- cliquer sur le cigle imprimante tout en haut de la page : apparait alors la fenêtre d'impression. Dans cette fenêtre cliquer en bas à gauche sur le bouton pdf.
- Sélectionner dans le menu déroulant "enregistrer en pdf" : une fenêtre de dialogue s'ouvre et vous sélectionner la destination du fichier sur votre ordinateur. Vous trouverez le fichier téléchargé là où vous l'aurez enregistré.

Marie-Cécile

"...Je sens votre question venir, ça raconte quoi, cette histoire de planches de surf et de pots ? C’est simple, ça raconte votre rapport à la réalité. Sans oublier jamais que l’imaginaire EST la réalité. Plus votre support est petit et profilé, mieux vous comprenez. Ce support vous permet de circuler sur la frontière entre le tangible et l’impalpable et de tailler votre route sur le temps. Le tangible, c’est l’air, l’espace, nous savons y respirer, le difficile à appréhender, c’est l’eau, le temps. Evoluer à l’intérieur du temps est une discipline de fer. Surtout à contre courant. Il faut supporter le quantique et le néant.
Comment on fait pour avoir une super planche à vague ? Alors là, mes p’tits lapins, c’est un sacré boulot. J’irais même jusqu’à dire que c’est LE boulot, le seul et l’unique. La planche, on se la fabrique à coup de tours de vie où on apprend encore et encore à la fac du dedans de soi-même. Y’a des tours où on fout pas grand-chose, on se repose, et d’autres où on trime comme des ânes pour passer des stocks d’exams. On a pas le choix. Les profs de l’évolution passent des deals avant les descentes et faut faire le job. Tu t’incarnes pour ça : pour arriver enfin à terminer la construction du flotteur."(Imaginaire personnel)
Cette histoire de surf m'a toujours semblée une évidence. Je suis persuadée que cette forme, ce mode de déplacement à la frontière de deux éléments répond à une grande figure archaïque, archétypale que Young aurait sans doute extraite s'il avait pu se rendre à Hossegor de nos jours. C'est une métaphore magnifique de notre rapport au temps et à l'espace. Je suis heureuse de voir quelqu'un s'en emparer enfin.
Meilleures salutations et bonne route à votre livre.

Marie-Cécile

Pardon, Jung. Choisir Lacan comme compagnon de jeu implique souvent un certain désordre orthographique. Jung porte en lui une belle jeunesse, un esprit de l'enfance.

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What a nice day it is!He goes home early everyday for fear that his wife would be angry.His father runs a restaurant.The meeting was scheduled for two hours£¬ but it is now over yetI'm sorry to have bothered you.It seemed as if there was no way out.He is ill in bed.There'll be some sport reviews on TV.The sun comes up in the east.How long have you been here?
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